Cette loi, que l’on attribue à un certain Douglas resté inconnu de tous, soutient que nous occupons tout l’espace dont nous disposons pour travailler. Cela implique qu’un grand bureau ne résout pas nos problèmes de classement, bien au contraire : plus nous avons de place, plus nous amassons de choses.

Trouvez votre propre méthode de rangement

Des monticules de papier se forment sur votre mobilier de bureau. Ils sont riches en informations non triées, non classées et non traitées ; ils sont truffés des documents oubliés, rarement consultés et ils sont alimentés tous les jours de nouveaux feuillets que l’on pose aux sommets des piles et qui les protègent de tout regain d’intérêt ! Difficile de rattraper le retard, mais si vous pensez au classement vertical, la situation s’arrangera vite et votre fourniture de bureau favorite deviendra le classeur. N’en faites pas des fourre-tout, organisez-les de façon judicieuse, par thèmes, services, dates ou types de documents et servez-vous de couleurs (surligneur, marque-pages, etc) pour identifier les informations importantes.

Ne vous laissez pas déborder

Insérez les nouvelles feuilles en dessous de toutes les autres, cela vous donne l’opportunité de passer en revue celles qui s’y trouvent déjà et, qui sait, celles qui sont devenues inutiles disparaîtront peut-être. Il faut que ce classement devienne une routine et que, quotidiennement, vous lui accordiez quelques minutes.

Quand vous aurez retrouvé la place pour poser votre mug sans pousser ce qui se trouve sur votre bureau, vous aurez fait un grand pas !

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